L'auberge, la beautée, la mort...

A paine ouvert la porte que je savais déjà que ce que j cherchais ne se trouvais pas ici Evil or Very Mad

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"Ils ont dû bien s'amuser ici ! ^^" me murmura Baphomet.
Le tavernier me regarda froidement et dit "qu'est-ce vous venez faire ici vous? J'aime pas les types pas normaux, je veux pas de bizzareries ici !"
Je lui rendit un regard de glace et son verre explosa en projetant des bouts de verre partout et en lui faisant une coupure à la joue, du sang coula et sefigea aussitôt. Surpris, il manqua de tomber et s'appuya sur le bar d'une main qui s'y colla. La peur se lisait sur son visage pâle à présent. "Ne vous avisez plus de me parler comme ça ou au lieu de vous tuer ou de vous torturer, c'est votre fille qui subira les conséquences. et appelez-moi Death". La stupeur (en plus de la peur) s'ajouta à son visage. "Je n'ais pas de fille!" s'exclama-t-il. Il mentait effrontément, un autre verre explosa. affraid

Son visage devint blème:pale:. "Pitié ne me faites pas de mal Death, ma fille est innocente... Elle est toute mignone, elle a tout juste 17ans, elle s'appelle Ka..."
"Katrina ! je sais"
"Comment savez vous? Que savez vous sur elle ?"
Mon visage, ma peau, toute mon apparence devint alors plus chaleureuse:D,amicale, Le tavernier put décoler sa main, et sa blessure se referma.
"Katrina est très belle, elle a de magnifiques formes, un visage de princesse, elle est toujours habillée en blanc et ver foncé, très intelligente, elle apprend à maîtriser l'air... et fréquente un jeune garçon très charmant d'apparence, qui s'occupe très bien d'elle. Il lui propose de venir vivre avec lui, mais au fond tout ce qu'il veut c'est son corps magnifique, et ne l'avoir que pourlui sans se soucier de son bien-être."
"Elle quoi ?... Elle fréquente un jeun homme... Qui ne pense qu'avec... Non mais... Elle vas tout de suite revenir ici... Comment savez-vous cela ?"
Par la pensé, et par la voix, je lui indicait que le coment et le pourquoi ne me concernait pas mais ce qui était important c'est ce qu'il va faire. Il fut, durant 30 secondes, comme hypnotisé puis reprit ses esprits.
"Installez-vous, je vous sert un chouchen, je vais vous préparer une chambre... ça prendra du temps, je doi la laver... puis j lui écrirai une lettre pour qu'elle revienne..."
"Ne lui dittes pas pourquoi elle doit venir, dittes lui juste que c'est important, si vous voulez voir ce jeune homme. Qui s'appelle Ken".
Il me fit un signe de tête affirmatif, puis partit derrière son bar, pour revenir avec un chouchen. Enfin, il disparut par une porte et j'entendis des bruits de pas dans un escalier. Mon plan fonctionnait à merveille. Quand il fut de retour, il me proposa d'aller m'installer dans la chambre. Dans les escaliers miteux, les couloirs crasseux, il me cnduit à une chambre propre et rècemment aménageé afin que l'on puisse y vivre. Tandis que je m'y installait, le tavernier redescendait au bar

Seul, dans cette chambre que je qualifiais de passable, ma tête se reposait, elle avait fonctionné à fond pour échafauder un plan infaillible afin de réaliser un coup de maître…

Quelques heures plus tard, le tavernier m’appelait pour le dîner. Il m’expliqua ensuite que sa fille allait arriver vers la fin de la semaine, et que je pouvais rester ici tant que je voulais. J’ai insisté pour payer mais seulement pour faire bonne impression. Je profitais de la semaine pour visiter cette sombre citée infestée de cauchemar et de mauvaises pensées. J’aimais bien cet endroit. Katrina arriva enfin au bout de la semaine, et comme prévu, avec son amant, Ken. Je les observais de loin en me concentrant sur mon apparence pour me rendre le plus gracieux et admirable que possible. (Imaginez Legolas.) Afin de faire craquer la première femelle venue. J’attendais qu’ils soient entrés pour entrer à mon tour. Quand enfin je m’introduisais, Le tavernier jetait des regards noirs à Ken qui faisait son possible pour lui sourire alors que Katrina était Hypnotisée par mon apparence. Ses yeux purs, se posèrent sur moi, ces yeux appartenants à une déesse de la beauté. Dans ma tête, je me concentrais sur des formules consistant à l’ensorceler pour qu’elle oublie Ken et ne soit absorbée que par moi.

Katrina et Ken durent faire eux-mêmes la préparation de leurs chambres, crasseuses, envahies de puces et autres bêtes… Dans les jours qui suivirent, on voyait de moins en moins Katrina et Ken ensembles. Ils donnaient l’impression de ne pas très bien s’entendre. Katrina insistait toujours pour boire un coup avec moi ou m’accompagner partout où j’allais. Ken, nous voyant ensemble éprouvait une jalousie telle qu’il ne pouvait plus parler à Katrina sans crier. Et un jours que je rentrais à la taverne avec elle, j’aperçut Ken qui l’attendait, lui aussi nous avait vu, je fis donc tout mon possible pour ne pas qu’elle le voit puis, la prenant dans mes bras, je l’embrassais avec passion et ardeur. Elle me rendit ce baiser avec ferveur et dévotion, je sentais sa langue dans ma bouche, chaude, humide, cette sensation agréable m’envahit et je sentis son corps frissonner. Tandis que mes mains parcouraient son dos, je vis du coin de l’œil Ken partir dans une direction opposée. Je la plaquais contre le mur pour repartir dans ce baiser ensorcelant.

***

Je connaissais une autre entrée pour aller dans ma chambre sans passer par le bar, j’emmenais avec moi Katrina qui s’accrochait à ma main comme à un fil de vie. Une fois passée la fenêtre, je plaquais Katrina au lit pour recommencer à l’embrasser, à la caresser, cette fois mes mains ne se fixaient plus de limites, elles descendaient sur ses hanches, profitant de sa peau douce. Tandis que je basculais sur le côté, mes mains revinrent sur sa poitrine pour défaire les boutons de sa chemise, un par un, prenant un plaisir fou, enfin, je rencontrais le corsais qui rendait ses formes si magnifiques, célestes… En même temps, elle aussi m’enlevait ma veste, ma chemise, défaisait ma ceinture. Je m’étais arrêté pour contempler son corps si admirable, gracieux, magnifiquement formé, telle une nymphe purement belle. Sa jupe ne restât pas longtemps sur sa taille, alors que sa culotte de dentelle glissait sur ses jambes, je pu contempler la rose parfaite de son sexe. Mon pantalon tomba du lit dans un bruit sourd alors que ma langue s’introduisait une fois de plus dans la bouche de cette créature parfaite…

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Cette créature d’une incomparable beauté, couchée la, nue. Son beau visage bordé de rivières noires (Opeth « Black river on the pillow »), son cou au parfum délicieux, sa poitrine d’un volume exaltant, ce ventre si doux, cette descente de hanche parfaite, ce sexe éclatant de vie, on pouvait en distinguer les battements du sang, ces longues jambes fines… Ce corps parfait faisait monter en moi un sentiment d’exaltation, une envie irrépressible de rentrer en fusion avec elle. Ce que je ne perdit pas le temps de faire. Mon sexe remplit de sang, dressé semblable à un serpent paré à l’attaque, pénétra le sien, doucement d’abord, puis j’accélérais. Je sentais son souffle chaud, ses gémissements presque muets, ses mains étaient serrées sur les draps, Plus j’accélérais, plus son visage se crispait, et mon plaisir montait, J’avais un contrôle total sur mes hormones, je pouvais donc continuer ainsi tant que je le voulais. Ses gémissements se transformèrent en cris, je voyais son visage se tordre de jouissance. Son corps se convulsait, ses jambes bougeaient sur les côtés, ses mains caressaient son pubis, mais elle ne perdait pas un seul trait de beauté. Je me penchais en avant pour l’embrasser, puis elle me murmura un « je t’aime » savoureux à l’oreille…

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Après un passage très érotique, plein de chaleur, Katrina ne fut plus la même, un lien supplémentaire nous rapprochaient. Bien que les rues fusent tristes, les places sinistres, les paysages horribles, et le temps invivable, on trouvait toujours un coin pour s’embrasser, s’enlacer… Plusieurs fois encore, nous avons fait l’amour, mais pas toujours dans les mêmes conditions… Une fois, elle s’était assise sur un bord de pierre en pleine nature, pour que je l’embrasse, puis elle avait défait sa jupe sans rien dire, et ma ceinture par la même occasion, alors le serpent se redressa puis refrappa, une fois de plus ce sentiment m’envahit, elle était en transe. Cet épisode nous prit une deux heures. D’autres fois, nous fument l’amour des heures et des heures sans s’arrêter…

Depuis 600 ans, j’avais eu bien le temps de m’habituer à faire l’amour ainsi. Et maintenant que cela faisait une semaine, je me sentais las de répéter toujours les mêmes actions. Je me dis alors que c’était le moment d’achever mon plan démoniaque…

Après de maintes disputes avec Katrina, je sentais que Ken allait bientôt partir. Un soir, alors que Katrina repartait vers sa chambre après une heure de purs plaisirs, je remettais ma veste et enfilais ma cape de camouflage pour la suivre jusqu’à sa chambre sans qu’elle ne me voie. Sur ma gauche, dans une chambre, j’entendais des bruits sourds, comme des affaires qu’on rangeait. Une fois la porte de la chambre de Katrina fermée, je me préparais, mentalement, physiquement. Puis je me jetais sur la porte en l’ouvrant à la volée, en glaçant la salive et la sueur qui se trouvaient sur sa bouche avant qu’elle n’ait pu émettre le moindre son. Son visage exprimait un sentiment de peur mêlée d’angoisse et de stupéfaction. Elle essaya de faire un mouvement mais sans même la glacer, j’exerçais un contrôle sur l’eau qui entourait son corps ainsi que l’eau contenue dans la composition de son corps. C’est la que la terreur envahit son visage quand le mien reprit son apparence normale. Doucement, je glissais une main dans la poche de ma veste pour en sortir un couteau assez petit mais ensorcelé pour être constamment aiguisé comme un rasoir. Elle regarda la lame avec effroi, tenta de bouger encore mais à la place, elle décolla du sol et alla se poser en douceur sur son lit, allongée. Je m’approchait d’elle doucement, pour découper soigneusement touts ses vêtements afin qu’à nouveau, elle se retrouve nue sous mes yeux. Mais le sentiment qui naquit alors au fon de moi était différent à présent, une jubilation intérieure, sadique, perverse…

***

Par la fenêtre, un rayon de lune allait se refléter sur la lame de mon poignard ensorcelé. Katrina regardait ce reflet comme elle aurait regardé la faux de la mort. Ma joie palpitait dans mes veines. La sueur perlant sur son front alla se coller au lit, maintenant sa tête immobile, ainsi que ses poignets, ses chevilles, et ses délicates fesses. Je m’approchais doucement d’elle, pour m’asseoir tout près de son ventre, je penchais ma tête, presque sur son nombril, pour y souffler une buée glaciale, qui se colla sur son ventre. Ses poils se dressèrent depuis son nombril, jusqu’à son visage dans un frisson glacé. Soudain, cette eau se transforma en vapeur brûlante, plus de 130°. Ses yeux s’affolaient dans leurs orbites alors que la vapeur se glissait sur son corps, la brûlant de partout. Ma jubilation intérieure bouillonna comme cette vapeur qui regela en se recollant sur son ventre que je voyais se tordre. On sentait une odeur de roussi flotter dans l’air. Avec la pointe du poignard, je dessinais un carré de quatre centimètres de côtés sous son sein droit, puis la lame s’enfonça de cinq milimètres dans un des côtés du carré pour soulever ce morceau de chair. A la vue du sang, mon corps frétilla. La plaque glacée sur son ventre, se décolla pour fondre et se vaporiser une fois de plus à 130° pour cicatriser la chair à nue, puis regela pour remplacer ce morceau de chair, par un carré de glace. Je prenais un plaisir immense, je jouissais de la faire souffrir. Puis je me mis à dessiner des signes tribaux sanglants sur toute la surface de sa peau, en partant du cou, jusqu’aux pieds. Sa peau devint écarlate de sang, les draps étaient devenus pourpres. Mentalement, je la maintenais immobile par le contrôle de l’eau dans son corps, ainsi je pouvais dessiner avec une immense précision. Je me sentais l’âme artiste. Enfin, j’allais m’occuper du visage, déjà, du sang coulait abondamment de sa bouche. Elle avait essayé d’arracher la peau de ses lèvres qui étaient collées par la glace, mais j’avais l’expérience. Chaque minute, une couche de glace se reformait, même parfois à partir de son sang. Je m’attaquais délicatement à ses pommettes, traçant des formes rouges sous ses yeux. Ses cheveux pleins de sueurs, s’écartèrent d’eux-mêmes de son front pour que j’y dessine ce qui aurait pu ressembler à une couronne. Je me délectais de la peur, l’angoisse, la frustration qu’elle ressentait. Je gravais dans ma mémoire cette image de ce corps pale, a cause du sang perdu, recouvert de dessins tribaux, cette œuvre d’art était, pour moi, d’une immense beauté, plus même qu’elle ne l’était quand elle était pleine de vivacité. Je savourais cet instant de pure allégresse. Elle était terrifiée, traumatisée, les mots ne son riens face a sa terreur et à ma jubilation. Puis je lui murmurai « J’ai passé des instants magiques avec toi, Adieu ». Alors, j’approchais ma lame de son sein gauche, pour commencer à découper la chair, exactement au dessus de son cœur, mon couteau s’enfonçait comme dans du beurre fondu, le sang commençais à jaillir de plus en plus violemment. Même les côtes se coupaient sous la lame du poignard. Enfin, je le vis, ce cœur battant lentement tant la vie s’en échappait. Il ralentissait de plus en plus et avant qu’il ne rende son dernier battement, j’avais pu couper les artères, d’où du sang sortit brutalement, éclaboussant tout autour de moi, et le prendre dans ma main, pour le sentir lancer un ultime flot de sang. Je riais, d’un air atrocement sadique… Des pas retentirent dans le couloir, je devinais que c’était Ken qui venait annoncer qu’il partait. Rapidement, je rangeais mon couteau, en sortais un autre, quelconque, le plaçais à côté du cadavre, remettais ma cape, puis m’immobilisais dans un coin de la pièce juste au moment ou Ken rentrait. Quand il aperçut la scène, son visage commença à se tordre d’horreur. Dans ma tête, je l’ensorcelais pour qu’il se barbouille le visage du sang, qu’il prenne le couteau, affiche un sourire, puis lance un cri de joie, perçant, avec toute la force de ses poumons. Ce qu’il fit, il continuait de sourire, de rire. C’est alors qu’apparut le tavernier, Découvrant ce cadavre, il se jeta de toute sa puissance sur Ken, qui ne fit rien pour se défendre, lui arrachant le couteau des mains, le tavernier commença à poignarder Ken avec rage, colère… Par vengeance, il massacra sa victime, me tournant le dos, complètement absorbé par son action. Je pus donc le contourner silencieusement vers la porte, pour faire semblant d’arriver en ayant entendu des bruits. Avec, de nouveau, mon apparence d’elfe normal, je fis semblant de découvrir la scène avec stupéfaction et effroi. La tavernier m’aperçut, se jeta en arrière en lâchant le couteau, balbutia un je ne sais quoi qui indiquait clairement sa propre terreur à l’idée que je l’ai vu. Mon air devint sévère et je lui dit : « Personne ne connaîtra l’identité du criminel, mais vous aurez une dette éternelle envers moi. » Il hocha la tête doucement, essaya de faire quelque chose, comme s’il voulait nettoyer. Une tristesse immense se lisait sur son visage éclaboussé de sang. Puis je déclarais d’un ton solennel : « Je m’en vais, adieu. » Puis je retournais dans ma chambre pour récupérer mes quelques affaires et partir.

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Deatialian, Le tueur...

» mort d'Aramia ?